A pied, à cheval ou en trottinette


Retour à l'accueil Dernière révision le 6/5/2023


Depuis les Romains, très probablement, la route est le moyen de transport principal. A pied ou à cheval.

Pour venir de Paris, il n’y a pas de pont, mais un bac. Sinon, il faut faire le tour par Nanterre, le Pecq, etc. Une fois le pont en place, Maisons se trouve sur la liaison Paris-Poissy, qui prend des noms différents au fil des siècles : départementale 47, route nationale 308, aujourd’hui départementale. Malgré différents projets, il n’a jamais été possible de la dévier pour soulager l’avenue Longueil.

La Seine est longtemps précieuse pour les transports lourds, comme les matériaux de construction et, sans doute, les barriques de vin. La navigation reste difficile jusqu’à la construction des barrages en amont et en aval. Et puis notre port ne devient qu’un lieu de plaisance (le « port des yachts ») ou de construction navale. Il n’en reste aujourd’hui qu’une rampe pour le passage des pompiers.

Le train est complété, en septembre 1900, par le tramway, relayé plus tard par les autobus.
Le vélo, enfin, a une heure de gloire au début du 20eme siècle, avec son ardent promoteur Pierre Giffard. A partir des années 1950, c’est la voiture qui prend le dessus.

Mais, plus récemment, notamment pour des raisons écologiques, le vélo joue à nouveau un rôle majeur. La mairie a beau rajouter des arceaux, ils ne suffisent jamais aux heures actives, par exemple autour de la gare.

A partir de 2020, la trottinette, simple ou électrique se multiplie. C’est aussi une « circulation douce ». Mais comme la bicyclette, elle ne fait pas toujours bon ménage avec les voitures et les piétons.
Pierre Giffard, créateur de la course Paris-Brest, promoteur du vélo.