Le débat de politique générale

Au conseil municipal du 4 décembre 2023



J. Myard : une demande qui nous vient de Mme Lavagne (NB, selon l’article L2122-19 du code général des collectivités territoriales : https://www.legifrance.gouv.fr/codes/article_lc/LEGIARTI000031038620



2.28.12. N. Ljubenovic.

Le constat à cette mi-mandat sera malheureusement exactement le même qu’à son tout début : en entrant dans cette mairie, on sent la naphtaline.

J’aimerais pour autant dire que ce conservatisme politique, cette fantaisie passéiste, permet de préserver Maisons-Laffitte, mais ce n’est pas le cas. Son capital naturel s’appauvrit, son capital public de même, et je ne parle pas de son capital social ou démocratique.
Le bien-être de nos concitoyens passe par un environnement préservé. Au lieu de cela nous avons des sorties écolo-sceptiques répétées et des contre-vérités dont la majorité municipale, par son silence, est complice. Sur l’écologie, la politique d’intention inefficace ne sert absolument à rien, comme nous avons pu le voir sur la charte de l’arbre ou le soi-disant contrôle sur notre urbanisme.

Cette poussée de béton, que chaque Mansonnienne et Mansonnien aura vue n’a même pas de but social, d’intégration, de mixité. Sur les trois dernières années, nous avons accompli moins de 8% de nos objectifs de logements sociaux. Nous nous inscrivons durablement et volontairement hors-la-loi, hors la République. La politique sociale de la ville sous-financée se rapproche bien plus de la charité que de la fraternité qui orne nos frontons.

Nous aurions pu croire que votre situation de majorité municipale minoritaire en voix vous aurait poussé à plus d’humilité, vers plus de concertation et moins de verticalité. Néanmoins, et vous l’avouez bien volontiers, ce n’est pas votre méthode, ce n’est pas votre ADN. Ce qui en 2023 ressemble à du bon sens vous est étranger.

Je souhaite bien du courage, monsieur le maire, à la personne qui vous succèdera à ce fauteuil en 2026, car il n’est plus permis de nous féliciter du minimum et Maisons-Laffitte ne peut plus se permettre de regarder les opportunités lui passer à côté.

2.30.18. A. Thérond-Keraudren. Merci au groupe TPML d’avoir institutionnalisé ce débat, même si on n’aura pas vraiment un débat. Cela n’a jamais été le cas. On n’a jamais cette période d’échanges qui permet la définition du débat. Encore une fois. Comme éléments de politique générale je retiendrai deux points.

1. La façon de gérer. C’est-à-dire : pour moi la ville n’est pas juste un budget, une ville est un peu comme une entreprise : il faut investir sentir les mouvements technologiques pour ne pas mourir Il faut de l’audace, un peu de modernité.

2. La vision, qui manque cruellement à cette ville. Une vision pas simplement pour l’année à venir et l’année suivante, mais une vision à 15 ans, à 20 ans 30 ans. Il faut … les choses qui sont faites aujourd’hui. Même si encore une fois il y a de bonnes idées, des projets sont portés, vous avez des compétences particulières qui, heureusement, font avancer les choses, mais sans cette vision, malheureusement, ces compétences sont bloquées.

Malgré tout, je note un certain décrochage de la ville par rapport à d’autres villes, et parfois des villes qui ont une situation financière moins bonne que Maisons-Laffitte, et ce n’est pas acceptable.

Progressivement, je vois le visage de la ville changer. On devient une ville dortoir, alors qu’on a un capital, un potentiel, et qu’effectivement la ville est bien gérée au niveau du budget.

Il faut …

Que comptez-vous faire pour relancer cette ville, trop souvent qualifiée de ??? lanternon ???


2.32.28 (Le maire passe la parole à Anne Lavagne, mais c’est Valérie Singer qui commence, car cette liste a réparti les temps de parole entre plusieurs de ses membres. Le maire acquiesce : « chacun s’exprime comme il l’entend »).

V. Singer

Je partage ce qui vient d'être dit sur la forme de ce débat de politique générale. Si on regarde ce que le législateur a voulu en instaurant ce débat dans les textes, c’est apporter des solutions à des difficultés de l’exercice de notre mission, qui fait qu’il n’y a pas du tout d’engagement pour exercice des mandats locaux.. et notamment ce débat de politique générale (comporte) un titre « reconnaître et renforcer les droits des élus ».

Bien évidemment cela vous laisse la possibilité de choisir la forme de ce débat. Et vous vous avez choisi : en fait, aujourd’hui, ce n’est effectivement pas un débat puisque vous donnez la parole successivement, et puis l’on va enchaîner des monologues et puis, après être obligés d’écouter effectivement vos réponses.

Mais il est vrai qu’on aurait pu imaginer qu’avec ce mot de débat, on aurait pu avoir une discussion, un échange, voire, un mot presque inaudible, la recherche d’une construction et d’un consensus, puisque tous les élus que nous sommes peuvent avoir de bonnes idées.

Une fois terminé ce préalable un peu…(indiqué) , je voudrais parler d’un sujet ce registre là, ce sujet de la transition écologique. Alors je vais juste …

Les enjeux, à Maisons-Laffitte comme ailleurs, … et il est clair… revient dans tous les recoins de la politique de la ville. Même s’il y a des bonnes volontés qui se montrent et qui mènent des actions en la matière, on est encore dans des choses un peu modestes, et on se demande si à un moment donné vous allez prendre en compte ces enjeux-là.

Deux exemples : l’éclairage public et l’isolation des bâtiments communaux.

1. C’est quand même… donc il faut un peu de volontarisme pour aller dans le sens de la réduction de ces consommations. Si je prends l’exemple des luminaires : 3 300 luminaires. Aujourd’hui on en a 11% qui sont en LED. Même si on est à cent par an, on va mettre 30 ans pour changer tous les luminaires de la ville.

Mon souci : Quel est le plan pour accélérer cette transformation. Et qu’est-ce que vous avez prévu dans les trois ans à venir, ceux de la suite du mandat.

2. Et puis un autre sujet, le point le plus important dans la consommation de CO2. Quel est le plan que vous avez prévu pour les mobilités à Maisons-Laffitte ?

2.37.15. T. Gunther-Fumat

Notre ville, il faut la protéger, protéger notre cadre de vie. Or le PLU de 2017 n’est plus en adéquation avec la situation actuelle. Il doit être révisé à la lumière du nouveau schéma directeur. Il sera impossible demain de faire face aux lois sur la mixité en sacrifiant systématiquement le cadre de vie et en saturant les terrains. Ajustons le tir pour satisfaire à la fois aux exigences de la loi SRU et à la loi climat. Il faut apprendre à les conjuguer.

La ville a la responsabilité de la traduction des nouvelles variables au niveau local. Il est urgent de prendre le virage d'un régime plus durable. Nous sommes à contre-courant.

Agissons pour trouver un nouveau modèle d’aménagement. Cessons d’utiliser la carence pour excuser la nature des projets promoteurs.

Soyons plus exigeants avec les projets architecturaux. Rénovons, réhabilitons, avec une vision d’ensemble ambitieuse et à long terme. Notre cadre de vie sera moins dégradé.
La place du Maréchal Juin. Verdissons-la le plus possible comme une cour d’école, avec des espaces ombragés pour nos concitoyens.

Après 14 projets immobiliers en 3 ans, rendons au centre-ville, haut… pour compenser tous les jardins rasés et les arbres abattus. Conservons à la ville son identité et son caractère…

2.38.58 A. Lavagne.
Cadre de vie agréable, services publics locaux, vie associative riche. (Le budget) n’est pas une fin en soi. Avoir 16 millions en caisse, non ciblés sur des projets… cela interroge. Nous vous demandons d’être proactif. L’important, c’est de répondre aux besoins des Mansonniens. Investir sans attendre. Des services publics qui se dégradent. A titre d’exemple : sans parler du Conservatoire, qui va enfin être déménagé, de nombreux services publics sont dans des bâtiments vétustes. Investissons pour l’isolation de bâtiments
Des services numériques de meilleure qualité. Deux exemples : améliorer l’ergonomie de l’espace famille…. Un service numérique de réservation des salles.

Exemple : conservatoire, nombreux services publics, bâtiments vétustes Nous demandons pour 2024 l’isolation.

Services numériques de meilleure qualité : ergonomie du site, service numérique de réservation des salles, qui faciliterait la vie des associations.

Alors que la Ville a 16 millions d’euros de côté, vous êtes en train de déstabiliser la vie associative en ponctionnant de façon (abusive) les associations. Vous refusez de supprimer activités désorganisées par le Covid, ce qui est très préjudiciable au tissu au tissu associatif de la ville.

2.40.40 C. Givadinovitch .

Trois points en conclusion.

Le premier, sur la sécurité, une promesse … que vous utilisez … 24h sur 24, 7 jours sur 7, nous connaissons … policiers municipaux. Pouvez-vous nous répondre sur l’aboutissement de cette promesse ?

L’autre point, qui est un point majeur pour la ville, l’hippodrome. C’est finalement tout le symbole du manque d'anticipation et de l’attentisme qui est le vôtre ....

L’hippodrome, il est souvent supprimé de l’ordre du jour du conseil municipal. Il est souvent utilisé comme un argument de campagne électorale, à grand renfort de communiqués de presse, mais force est de constater que, plus de 15 ans après vous avoir demandé un projet, il n'y en a toujours pas.

J’ai deux points à ce sujet :

1. Le premier est celui des études, que nous avons votées de bon cœur, depuis six ans, pour plusieurs centaines de milliers d’euros, et puis dans un débat comme celui de ce soir, elles auraient pu nous permettre de nous projeter dans le cadre d’un débat de politique générale. Mais vous n'avez jamais voulu les partager, vous n’avez jamais voulu les publier. Ce soir, vous pourrez peut-être nous dire ce que vous en avez tiré et ce que finalement vous ont permis d’avoir un projet.

2. Pourriez-vous aussi nous certifier qu'à long terme cet hippodrome ne sera pas une charge massive pour la ville. Et ce soir, je voudrais également savoir quel est ce fameux projet qui allierait à la fois qualité de vie pour les habitants de la ville, reprise des courses, mais surtout projet équilibré.

En guise de conclusion, nous avons pu voir que, à la fois avec les interventions des autres groupes, mais aussi avec la nôtre, ce soir c’est l’usure de 35 ans de pouvoir qui vous fait sombrer dans le déni :

- Déni de l’enlaidissement de notre ville, un glissement architectural, les chiffres parlent d’eux-mêmes. 14 projets, trois ans.

- Déni climatique. En fracturant durablement Maisons-Laffitte, entre son parc végétal et cette ville minérale

- Déni de démocratie, quand les grands projets se font constamment en dehors de toute consultation des Mansonniens. Je pense notamment au projet du parking du marché.
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Et ce soir, malheureusement, je vois que nous ne sommes pas les seuls à voir que votre vision pour la deuxième partie de mandat est bien précaire.

2.43.40. J. Myard Permettez-moi de vous dire que quand on n’a rien à dire, on se tait, parce que franchement… Chacun va répondre dans l’équipe pour les quinze minutes qui viennent. Parce que je trouve qu’il ne faut pas exagérer.

Je dirai tout d’abord à Nicolas Ljubenovic : conservatisme passéïste. Qu’est-ce que c’est que ces âneries. Cessez, je vous le dis, de penser par des slogans.

Poussée du béton. Mais, que je sache, qui nous impose de densifier ? Ce n’est pas nous, c’est la loi Elan, c’est la loi SRU. Enfin, quand même, regardez la réalité en face. Nous sommes en effet sous des contraintes, avec le SRH ( ??). Je rappelle par exemple qu’en région parisienne il faut construire 70 000 par an. Ce n’est pas moi qui le dis, Et maintenant vous nous parlez du béton, comme vous Tania, ou vois Mr Givadinotitch, mais nous sommes effectivement dans des contraintes fortes

Madame Keraudren, il n’y a pas d’échanges ! La preuve, nous le faisons en permanence, mais quand on a, sur tout, et je donnerai la parole à toute l’équipe parce qu’ils ont des choses à dire. S’il y a des échanges, c’est tout simplement pour être constructifs, pas de la démagogie comme vous le faites à chaque fois. Et je vous le dis très fermement.

Madame Lavagne, madame Singer. Je vous fais remarquer, madame Singer, ce que vous ne savez pas, c’est que dans ce débat de politique générale, le gouvernement a traîné les pieds, au Sénat, il était même contre. Il ne peut pas y avoir d’échanges quand on manipule les choses. Et donc ce n’est pas des monologues, c’est qu’en réalité nous sommes sous contraintes dans de multiples domaines,

La formation écologique, quid ? Eh bien on avance petit à petit, il y a un rapport qui est en train de sortir effectivement à la CA et que nous allons mettre en œuvre au fur et à mesure.
Quant à l’éclairage public..

Tania : le PLU n’est pas adapté. C’est vous qui le dites. Mais il est parfaitement adapté sur notamment les zones vertes sur les … sur la protection de la nature… mais comme vous ne voulez pas voir… vous nous demandez la végétalisation de la place Juin. Pouvez-vous me dire, aujourd’hui, si elle était végétalisée, s’il y aurait une luge pour nos enfants ? Non. Alors regardez la réalité en face, et cessez d’être dans les slogans.

Le cadre de vie, l’endettement, madame Lavagne, s’il vous plait, quand même, arrêtez avec des slogans, regardez ce qui est fait.

Quand à Monsieur Givadiovitch, c’est le bouquet. Vous avez terminé. Et pour moi c’est le couronnement de tout, notamment dans les contradictions.

Je vous rappelle que
- sur l’hippodrome, nous avons un plan, nous avons racheté, notamment, la zone de verdure, nous allons pousser bien sûr sur les tribunes, mais la crise économique impacte comme elle impacte la région, il va falloir donner du temps au temps. Ne nous dites pas qu’il n’y a pas de projet, c’est simplement que vous vous n’en avez pas, c’est aussi simple que ça.

Déni architectural…Nos amis vont vous répondre.

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2.47.19 C. Kopelianskis .

En ce qui concerne l’éclairage, il me semblait effectivement que nous avions un peu plus de 3000 ampoules et qu’il y a 10% de l’éclairage qui est en LED, et que le projet que nous avons pour 2024 c’est de changer la totalité de l’éclairage en LED. La question qui se pose, c’est de savoir si on le fera en un an, deux ans ou trois ans. Mais c’est bien prévu dans nos objectifs. Donc on a des entreprises ont planché pour nous répondre, donc modifications.

2.48. F. Lelievre.

Quelques points, M. Ljubenovic, notamment sur la question de solidarité. Depuis 2019 le budget du CCAS en constante augmentation de budget en budget. Il est passé de 460 000 euros en 2019 à 620 000 euros en 2023, c’est dire que les efforts qui sont réalisés en matière de solidarité dans notre ville….

Quand vous nous parlez ailleurs de pousse de béton, où est passée la question de ce début du conseil municipal ? C’est vous qui posez la question sur le nombre de logements sociaux, à Maisons-Laffitte, du début du conseil à la fin, restez cohérent. La ville a fait plus de 13 millions et demi de surcharge foncière sur les 15 années qui viennent de s’écouler. Est-ce que c’est une paille ? Je ne crois pas. On arrive à 14% de logements sociaux, c’est bien la preuve de la solidarité qui s’exerce à Maisons-Laffitte.

Sur la restauration scolaire, notre majorité municipale avait donné des gages. C’est notre majorité qui a proposé la réforme au quotient des tarifs de cantine pour s’ajuster aux revenus de chacun.

A Thérond : Une ville n'est pas une entreprise. On n’a pas du tout la même vision. Une ville, ça apporte des services publics.

  • Quand vous dites « décrochage », « ville dortoir ».. on ne doit pas vivre dans la même commune. Sécurité, petite enfance, saison culturelle, soutien aux associations, et j’en passe, là vraiment, cette vision caricaturale m’échappe.

Sur la thématique de l’écologie, plus … globalement, je rappelle que les deux tiers de la superficie de Maisons-Laffitte sont des espaces naturels. On a 67 000 mètres carrés de coulée verte, 416 hectares d’espaces verts, mille arbres d’alignement, 3 200 arbres isolés en ville, 20 000 arbres dans le parc, nous faisons un bassin de récupération des eaux fluviales sous le complexe culturel, nous avons créé un jardin communal de 500 m2.
Nous luttons contre le gaspillage alimentaire dans les cantines, nous faisons des efforts pour passer aux LEDs, nous avons engagé la réduction des déchets de 6% en deux ans à l’échelle communale, que le plan vélo avance, et nous en avons encore eu un exemple récemment sur l’avenue Jean Mermoz

Je pense que nous n’avons pas du tout la même vision de cette belle ville.

2.51.S. Godaert.

Je veux bien quand même prendre la parole parce que quand même…

Vous avez raison, l’urbanisme c’est la politique de la ville. Jacques et moi-même, nous y attachons beaucoup d’importance. Sachez que nous sommes attaqués très souvent par les promoteurs… et grande loterie, on est gagnants.

D’abord, des rectifications.

1. Ce n’est pas 13 projets, mais 23. 21 sont des projets privés. Autrement dit, on n’en a que la maîtrise de remettre en… et puis, on a construit 362 logements sociaux pour 498 en accession. Donc vous le voyez/

L’architecture que vous dites toujours comme « moche », il n’y a que vous qui l’entendez comme telle. Je n’entends pas les mêmes choses que vous. C’est dommage, on ne doit pas fréquenter les mêmes personnes.


2. Charte de l'arbre. Je regrette que vous ne l’appuyiez point, vous y avez pourtant participé. On l'utilise tous les jours pour chaque projet pour permettre et d’apporter cette végétation que, comme vous, nous souhaitos.

3. Nous sommes en train de mettre en place un guichet numérique. Nous aussi nous sommes au goût du jour.


2.53.19 P. Bouvier

Sur l’hippodrome. On a dit que nous n'arriverions pas avec France-Galop à acquérir l’hippodrome, ce qui a été fait. La verdure, et réfléchir à des projets positifs pour la ville.
Au niveau de ces projets, si je vous disais, entre le moment où on l’a pris, et le moment où va sortir, il y a eu une crise économique extrêmement violente, avec des taux qui sont passés, de 1,10 à 4,5% en 9 mois.

9 mois pendant lesquels justement il y avait une définition des projets. Donc cela veut dire qu’il y a des adaptations. De toutes façons, les grands projets, c’est toujours comme ça. On y travaille, on les adapte et on les sort. On a beaucoup de projets. En parler profondément, c’est très difficile, car cela peut changer, si demain les taux passent à 8% ou si au contraire ils redescendent à 2,3. Donc voilà une raiso d’adaptabilité aussi.

Quant à la place du marché, on en a parlé à de nombreuses reprises. Chaque fois il y a des éléments nouveaux, et là aussi j’espère avec aussi un plan B s’il y a besoin on y arrive.


2.54 B. Vivien. Associations. Il y a des échanges très riches. Des soutiens, et on en ressort très heureux. En tous cas pour le secteur culturel, mais je penser que pour le restant c’est pareil. Un réel soutien de la ville et une réelle participation. Riches de soutien. Heureux aussi bien nous que les associations.


(Le conseil s’est arrêté là).