Quatre phases de développement
Retour au sommaire écosystèmes . Dernière révision le 9/10/2021
- Le client (et autres parties prenantes) doit interpréter ces messages élaborer, les déconstruire pour y trouver l’essentiel qui va conduire à des insights et à des décisions d’achat. Sa décision peut se conclure sur un simple clic.
Quatre phases
- 1. Des données à l’action vers un acteur (humain ou automate).
Derrière les données, il y a le monde, les « faits ».
A partir de là, c’est le travail de l’analytique, des statistiques, de la modélisation.
Mais souvent il va y avoir un pré-déploiement. Le travail en série, en « batch ». Par exemple on va prendre tout le fichiers des clients, l’un après l’autre, pour générer le message.
Chez l’artiste, c’est la réflexion sur le monde, sur son inspiration spécifique, sur la demande du marché, qui va conduire à la décision de créer.
Cela peut aussi s’organiser (se réduire) en décisions élémentaires : ici ajouter un trait, là forcer la couleur…
- 2. Déploiement de l’action vers l’interface utilisateur
Ici c’est toute l’amplification vers le texte, l’image, la vidéo.
Avec un volet spatial (l’image 2D typiquement, mais aussi le timbre, l’harmonie (au sens musical technique) et temporel : durées, mais aussi successions, story-telling, mélodi, tempo.
- 3. Perception/compréhension par le destinataire à partir de l’interface
Pour qui le message s’inscrit dans un contexte. Matériellement, ce qu’il y a autour de l’écran. Mais aussi temporellement : cette action prend place dans un agenda
- 4. Décision de l’utilisateur avec travail dans son cerveau)
Après quoi on entre dans la voie retour :
- Expression de la décision sur l’interface
- La décision vient enrichir les données
Si l’interaction se fait en temps réel, s’instaure une boucle entre le vendeur (ou l’application) et le client (utilisateur) qui tournera jusqu’à une conclusion.
Notes au fil de l'eau
On a cela un peu aussi dans la vie personnelle : des moments de flux, concentrés sur une tâche, un plaisir, et d’autres ou vraiment on fait des choix.
- Il a suffi qu’elle dise « oui » (27/2/1965)