De Sicart à Encyclo, une longue histoire



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Retour à l'accueil mansonnien . Dernière révision le 3/11/2022

En août 2021, après plusieurs années de bons services, Kamel Hassaine, de Technobike 78, prend sa retraite et passe la main à l'équipe d'Encyclo, qui refait entièrement les locaux. C'est l'instant présent d'une longue histoire.


A la belle époque, en regardant bien, une enseigne "cycles" figure déjà sur l'immeuble qu'occuperont les boutiques de cycles pendant des années.

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En 1937, la boutique porte le nom de Sicart. Il n'est alors qu'un des six fournisseurs de cycles à Maisons-Laffitte. Dès les années 1950, c'est Hughes Pinsard (premier à gauche sur la photo) qui reprend le flambeau.
Vers 2010, c'est Technobike.

Pinsard, bienfaiteur au Sahel

Souvenirs de Dom Coutel. Son groupe Facebook

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Il me revient en mémoire la gentillesse de Hugo Pinsard , alors que de passage à " Mesdaf " , il y a bien longtemps , je lui contais les problèmes inimaginables en Afrique et plus particulièrement dans la zone sahélienne ou j’œuvrais, pour les locaux qui voulaient simplement réparer leur vélos qui crevaient souvent sur les cailloux pointus du désert ,

Hugo me dit « attends » et de revenir rapidement avec une caissette pleine de trousses et autres produits de réparation des chambres à air …qu'il me donna spontanément !!. S’il avait pu voir le nombre d’heureux qu’il fit là-bas lorsque à mon tour je donnais ces rarissimes biens, si utile pour des gens ne possédant quasiment rien .
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Pour les Mansonniens nous n’avions pas ces ennuis mais qui n’a pas conservé au seuil de la rue St Nicolas le chouette souvenir de ce garage atelier à cycles et les miracles que Hugo Pinsard (and co ) faisait avec nos bicyclettes , mobylettes et autres machines à 2 roues…. que nous lui amenions toujours inquiets , afin qu’il leur rende si possible vie …..Nous rassurant chaque fois d’un petit sourire en coin et de quelques brefs mots nous invitant à repasser demain ….

Le lendemain , toujours un peu inquiets , nous découvrions nos cycles revenus à la vie et pouvions les enfourcher pour filer par les rues et avenues fringants sur nos fiers destriers …Cité du cheval d’alors oblige !