La gare de marchandises
Plan général de la gare en 1845. Document Gérard Finet
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De gauche à droite :
- L'ensemble du creux vu depuis l'avenue de Poissy ; question : que représente la grande masse blanche ? Du minerai ou des scories pour l'usine de Borax ?
- Le bâtiment, typique, de la gare de marchandises, et la voie qui le contourne avec la plaque tournante.
- Les wagons vus de l'autre côté et de près. Que transportent-ils ?
Voir aussi d'intéressantes photos dans l'album de Frédéric Henry
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Références documentaires . Images, photos, cartes postales
La gare de marchandises se situe d'abord à l'endroit de l'actuelle place de la Libératioin, et on l'y voit encore sur les cartes postales.
Outre le bâtiment couvert, jouxtant et abritant en partie une voie de garage, on note - sur le plan comme sur les photos - une voie perpendiculaire où stationnent de petits wagons. Quel était leur usage ? Leur emploi n'était pas simple, puisqu'il fallait faire passer les wagons, un par un, sur une petite plaque tournante,
La villa qui occupait auparavant l'emplacement de la nouvelle gare.
La deuxième gare de marchandises (document Frédéric Henry).
A proximité immédiate, le bar-restaurant pour les cheminots, "La petite vitesse", aujourd'hui occupé par l'atelier de l'artiste M. Piketty
Puis, à la demande des riverains, reportée plus haut, entre rue d'Achères et rue Puebla. 1906 (mais figure déjà sur le plan de 1905) . L'activité marchandises a été importante en particulier à l'époque de l'usine de Borax (entre 1880 et 1914 environ) et un peu aussi pour le chantier naval.
Vers 1950, la gare de marchandises fait place à un immeuble de La Sablière, filiale de la SNCF, à caractère social, mais dont les logements ne sont pas exclusivement réservés aux cheminots.