Hippodrome : usine à gaz ou solution astucieuse

Hippodrome : usine à gaz ou solution astucieuse ?La manière assez floue dont a été présenté au conseil l'achat par la ville de la "partie verte" de l'hippodrome a désorienté les commentateurs.

Les uns y ont vu une dangereuse escalade : après avoir acheté l'hippodrome, la ville devrait encore payer 6 millions pour son environnement.

D'autres y ont vu simplement une contradiction du maire qui avait affirmé "cela ne coûtera rien à la Commune, c'est l'Epfif qui prend en charge".
J'ai d'abord eu l'impression d'une indéchiffrable usine à gaz, entre notre société de courses et le montage d'un consortium prenant en charge les bâtiments.

Peut-être qu'en fait, c'est simplement astucieux : en devenant pleinement propriétaire de "la partie verte", c'est à dire tout sauf les tribunes, la Ville :
- a maintenant les mains libres pour développer sa société de courses et relancer les activités,
- laisse à l'Epfif le soin de se débrouiller avec la recherche d'investisseurs et le financement du désamiantage.

Mais ai-je bien compris ?

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