Ceci est une version archivée de L_Ile à 2023-02-15 17:43:04

Les îles


Retour aux lieux et places . Retour à l'accueil mansonnien Dernière révision le 21/5/2022

Pour la balade


Voir les bords de Seine.

Notes et documents

Références documentaires . Images, photos, cartes postales
Retour aux bords de Seine

Les tennis couverts

.

Visite le 9 octobre 2022 : "Par ce bel après-midi d'automne, de nombreux jeunes sportifs sur l'île, et même un canoë sur le petit bras.
Le bâtiment des tennis couverts est original. Les partisans de la verdure trouveront sans doute qu'il est volumineux et change fortement le paysage de l'île, jusqu'ici très proche des prés d'autrefois."

La péniche Jean Rambold



Dans les années 1970_90, était amarrée la péniche "Jean Rambold" sur le petit bras, juste en aval de passerelle actuelle de l'île. Elle ressemblait a une péniche toute simple de transport de fret aménagée en salle de réunion avec a la proue des sanitaires et j'ai le doute si il n'y avait pas un deux pièces pour un gardien

Elle était utilisée pour de nombreuses réunions, par exemple
- scrabble, belote
- le Club de Parachutisme-Sportif Paraloisir y tenait ses assemblées générales.
- Maisons-Laffitte Accueil.

En 1990 encore, le conseil municipal s'occupe de son assurance.

Il n'en reste plus qu'un ponton d'accès, interdit car dangereux.

Pourquoi cet arêt ? on a parlé de soirées bien arrosées... Plus simplement, la Mairie a pu craindre que ces réunions, éventuellement nocturnes, ne créent un danger de chute dans le petit bras. Peut-être aussi que la péniche vieilissait, ou que son entretien coûtait trop cher.

Souvenirs de Dom Coutel

L’ÎLE MYSTÉRIEUSE de MAISONS-LAFFITTE .....
....Les enfants de 10 /12 ans que nous étions n'avaient pas besoin d'Eldorado ou de Far West pour rêver, récit nourris pas les lectures de bd que nous achetions chez Pichat le libraire attenant au café de la Station , maintenant " le 46 " .....
..
.....Nous allions chaque Jeudi, jour de congé alors , sur l’île de la Commune totalement libre à l'époque , parcourue seulement par qlq vaches de la ferme proche ... bovidés que nous prenions bien sur pour de dangereux Buffalos..
..
Pour accéder à l’île il y avait alors qu'un aléatoire bac servant principalement pour les transfert des vaches et bien rare furent les fois ou un garçon vacher accepta de nous faire faire la traversé, aussi comme évidement pas de passerelle prés de ce qui sera le PODP , ni de pont menant au futur Camping International , nous empruntions le risqué passage de la voie SNCF via le mur de la propriété de André Baugé le chanteur lyrique ...nous avions guère plus de 12 ans ! et redescendions le talus pour parcourir cette Pampa que nous jugions infinie ...évitant sagement , par trouille , d'approcher ces Buffles déjà nommés , il me revient en mémoire la joie et l'émotion ressentis lorsque qu'après ''des semaines de marche '', certainement moins d'une heure, dans les très hautes herbes nous découvrîmes ce qui ne pouvait qu'être que l'embouchure de l'Amazone ....en fait de début du petit bras de la Seine dont le cours peu envasé était bien plus vif que maintenant,
..
Souvent aussi par beau temps nous allions nous tremper dans la Seine en face de Sartrouville au plein sud , les sédiments naturels formant alors des plages de sables fins vierges de tous détritus ..... sachant plus ou moins nager nous n'allions pas bien loin et craignions les vagues "des paquebots" qui passaient , en fait de lourdes et lentes péniches.
..
Qlq décennies plus tard ces rives furent relevées et phagocytées pour en dompter les crues alors annuelles du fleuve , ces belles plages disparurent à jamais comme cette plaine infinie , Serengeti .... en Swahili , la baignade Gauchois sur le petit bras 100 m à gauche da la passerelle fut fermée , l’île fut investie et construit ( un peu ) , les ateliers de bateaux rue de la Digue périclitèrent.... le temps des rêves et de l'enfance étaient passés comme un tsunami , faisant table rase de tout, nous étions en plein des 30 glorieuses et découvrions avec volupté ce qui se nommera plus tard l'ère de la consommation ce qui donnera rapidement celui de la Pollution .

Une note de Daniel Bousseton sur le site de Dom Coutel

… L’époque était occupée par les chevaux et chariots de mon grand-père Wiel Tobie… je savaisprendre les rênes pour les faire monter sur le bac…

C’était périlleux mais j’y arrivai alors mais surveillè par les commis et hommes de ferme… J’étais très fier car à 8 ans je pensais être leur complice et ami. Je me souviens même de leur nom… Il y avait Maurice Rouchy et Jean Lebas ( lui décédé écrasé par un camion de bennes à ordures) … cela m’a marqué !!!

Mon grand père avait acheté 300 arbres fruitiers pour créer un verger situé dans l’île Laborde… c’était situé en haut à droite en remontant la côte une fois le bras de Seine traversé… Mon grand père était un passionné d’arbre s fruitiers et m’avait appris à cueillir le fruit sans abîmer le pédoncule…

tous les fruits étaient ensuite ramenés à la ferme de la rue de St Germain… J’ai encore dans les narines l’arôme, le parfum de ses cueillettes dans son mûrissait… le pied…

  • je me souviens aussi de l’arrachage des pommes de terre avec la charrue tirée par Charlot ou Gamin l’un des percherons de pépé Wiel… Je devais monter sur la charrue pour peser sur lol et l’aider à mieux s’enfoncer en terre… j’en ai d’autres dans mes tiroirs mais on verra tout ça plus tard…

Autres notes

En 1920, la commune fait combler le bras de Seine entre les îles Laborde et de la Commune











. Texte sur l'artiste Brice


L'île Laborde