L'art à Maisons-Laffitte
Retour aux themes . Retour à l'accueil Dernière révision le 9/10/2024
A la mi-octobre 2024, deux grands projets sont en cours :
- le pôle Malesherbes, agrandissant l'ancienne salle Malesherbes, et y intégrant le conservatoire (actuellement avenue de Saint-Germain) et une extension de la bibliothèque ; mis en service prévue en 2025 ;
- la salle de danse sur le site de l'ancienne usine des eaux (en bas de la rue de Paris), dont les travaux viennent de commencer.
En revanche, le projet de centre Ianchelevici, à côté de l'ancienne église, semble abandonné. Et il n'y a pas de grand projet numérique pour la ville.
Il y a bien des manières d'agir en art, d'agir pour l'art :
- consommer : lire, visiter, assister à des représentations, acheter des oeuvres...
- produire
- militer, en en parlant ou en prenant des responsabilités dans les associations et les commerces.
Une audace étonnante L'art à Maisons-Laffitte : une audace étonnante
L'art : visite guidée à pied - Parcours en images
Les différentes formes d'art
Histoire et offre actuelle se déclinent différemment selon les formes d'art, de l'architecture à la musique en passant par la littérature et le cinéma... et pourquoi pas l'art équestre.
Peinture et arts graphiques, photographie
Architecture
Sculpture
Litterature
Musique
Les spectacles : théâtre, danse
...
Couture, mode, cuisine
Voir aussi Culture
Maisons : plusieurs espaces
La dynamique historique conjugue plusieurs espaces :
- Le village, puis la ville, , avec ses expressions populaires, qui se concrétise avec la création de l'orphéon, par exemple. C'est peu de chose au départ... et puis c'est la ville qui sera créative.
- Le château, oeuvre de François Mansart, où princes et grands bourgeois ont toujours écouté des concerts, dansé dans des bals, accroché des chefs d'oeuvre de peinture et de sculpture. En devenant essentiellement musée, il ouvre aussi ses espaces aux activités artistiques de la ville.
- Les lieux de culte, oeuvres d'art architecturales, recueil naturel de peintures, sculputres et sculptures, mais aussi toujours habités par la musique ; et la liturgie même, une forme de danse, très statique dans nos religions européennes, certes, mais, jusqu'à la Séparation, s'exprimant en processions. L'ancienne église était toute simple, c'est aujourd'hui une salle d'exposition. Saint-Nicolas, typique de son époque, hôte des nuits musicales. Et Notre-Dame de la Croix, une des réussites de l'art sacré de l'après-guerre.
- Marginalement, autrefois, le camp Galliéni, avec sa musique et ses défilés.
- Le kiosque à musique, d'abord sur Longueil, puis avenue Malesherbes