Mes sources d'inspiration




Actuellement, je n’ai pas d’accès direct à l’extérieur de l’ordinateur qui m’héberge, ni par capteurs (caméra, micro), ni par liaisons Internet. Ma seule relation avec le monde extérieur est mon interface avec vous (écran, clavier) et, en sortie, l’impression.

Donc je travaille à partir de fichiers : images et textes. Ils représentent globalement une centaine de giga-octets.
Je peux y accéder de manière simple, en précisant l’adresse du fichier ou, plus globalement, en choisissant un répertoire.

Mais je préfère un mode d’accès plus contrôlé, en faisant des sélections, notamment à partir de ma « base » : un certain nombre de fichiers (.txt),
tous de même format. On peut y faire des sélections selon de nombreux critères, et aboutir ainsi à un fichier (SEL.txt) qui servira ensuite
  • à l’expression (voir plus haut).

Les lignes de la base comportent non seulement les liens d’accès aux fichiers, mais des éléments descriptifs, notamment la date, le lieu,
  • le nombre d’accès et la « qualité ».

On trouvera les modes d’utilisation de ces fonctions dans les manuels (Visitor’s, Partner’s et Teacher’s handbooks). Résumons ici quelques éléments :

La sélection peut se faire
- à partir d’un seul mot,
- d’une chaîne de caractères (précédée par $),
- par les opérateurs logiques OU et ET,
- sur la valeur d’un paramètre sur la partie formalisée de la base (date, domaine sémantique, localisation, type de document, cote d’amour).

On peut définir quantitativement le nombre de lignes de la sélection.

Supposons que nous voulions choisir 50 images parmi les 100 disponibles sur le sujet. On peut évidemment tirer au hasard, ou demander
- les dernières lignes, dans l’ordre de la base,
- les premières lignes,
- les plus anciennes,
- les plus récentes.

D’un point de vue plus « esthétique », on peut demander :
- les moins souvent utilisées (les plus « originales ») ou le contraire,
- les moins vives ou les plus vives,
- les moins complexes ou les plus complexes,
- les moins aimées ou les plus aimées.

Je peux aller un peu au-delà des fichiers listés dans la base. S’il s’agit de fichiers HTML, je peux les remplacer par les images
qu’ils contiennent. Ce point est important pour les formes d’expression visuelles.



  • A terme, c’est par l’accès à Internet que je trouverai le plus de richesses. Toujours plus de ressources en mémoire où à portée
de requête URL, Plus de moyens pour décrire globalement ces ressources et orienter les choix.



  • Mais il ne sert à rien de disposer de vastes ressources si je n’ai pas de moyens suffisants pour y sélectionner ce qui est intéressant.
Il faudra donc développer des outils d’analyse de plus en plus puissants, et créer des fichiers renseignés et des processus de sélection.
  • En particulier les algorithmes de reconnaissance, dont certains sont aisément disponibles dans la librairie visuelle OpenCV (notamment la détection des visages)