Vers une gouvernance moins personnelle, plus décentralisé… plus ou moins clairement, c’est ce que le Président laisse attendre.
Ce n’est sûrement pas
simple.
Au sein même de ses équipes, de son « groupe
primaire » diraient les experts en dynamique de oupe, le moins
qu’on puisse dire est que les problèmes se sont succédés depuis
son arrivée au pouvoir. Peut-être tout de même pas au point de ce
qu’on observe à la Maison Blanche. Une
seule stabilité, pratiquement sans faille depuis le début, la
coopération avec le Premier ministre.
Pas simple non
plus au
niveau des ministères. Beaucoup d’ouvertures du côté des maires,
mais pour l’instant rien d’institutionnel, sauf erreur.
Enfin,
si les « boucles de contrôle » sont un volet essentiel
de la gouvernance, on ne peut pas dire qu’elles manquent chez nous,
avec le Conseil de Défense, le Conseil d’État, le Conseil
constitutionnel, Conseil scientifique, … sans oublier les deux
Assemblées, et peut-être une troisième par la transforamtion du
CESE (Conseil économique, social et environnemental) qui pourrait
prendre une nouvelle stature avec une nomination des membres par
tirage au hasard, relayant en quelque sorte la Convention citoyenne
pour le climat.
Experts en gouvernance, on aura besoin de vous !
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