Crédit photo : 2O minutes

Imposer les Gafam… en nature, c’est-à-dire en données ?

On a mille raisons de détester les Gafam, et a fortiori leurs équivalents chinois, les BATX.

Certes il faut les contrôler, s’assurer de leur « modération » et/ou se battre par une concurrence volontariste, comme le montre en détail un article du bloggeur David Fayon  (un document orienté pratique autant que doctrine).

Mais, rêvons un peu plus loin. Une des bases de la gouvernance, à tous les niveaux et en particulier au niveau national, c’est de connaître les partenaires, les clients, l’électorat. Et, aujourd’hui, personne ne nous connaît mieux que les Gafam, tant par leur énorme big data que par la puissance de leurs outils informatique, IA comprise ou non.

Alors, pourquoi ne pas les imposer en nature, c’est à dire leur imposer de fournir aux Etats des données synthétiques de même nature que celles qu’ils fournissent à leurs annonceurs. Et cela en tout respect de la confidentialité et notamment des règles du RGPD ?


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