La gouvernance doit se préoccuper de l’empreinte écologique de l’entreprise, et notamment des moyens numériques qu’elle emploie, sans oublier les outils de gouvernance eux-mêmes.
Rémi Barroux, dans Le Monde du 25 juin, cite un rapport du Shift Project : « l’empreinte matérielle du numérique est bien au-delà de l’anecdotique : sa consommation énergétique représente en 2019 plus de 3 % de la consommation mondiale et augmente selon une dynamique soutenue de + 9 %/an ».
Nous avions fait, en
mars 2020, à l’intention de l’Institut Bull, un sommaire des
différents types de consommation du numérique :
Informaticiens,
sommes-nous écologiquement responsables ? .
La
question n’est hélas pas nouvelle, et nous avions rassemblé
diverses sources dans l’item Ecology
du dictionnaire de l’art numérique diccan.com.
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