Pour une métrique de la gouvernance

« Cette Europe à qui il manque un zéro » titre Eric Le boucher dans une chroniqu des Echos (19/9/2020). Il s’agit du rachat d’Arm (« pépite britannique des semi-conducteur ») par l’américaine Nvidia pour 40 milliards de dollars. « Le secteur privé européen n’est pas à la hauteur capitalistique pour doter l’Union d’une force équivalente à celle des deux empires.

Généralisons : les modes de gouvernance ne peuvent pas être les mêmes dans une TPE et dans un groupe mondial. Les apparences peuvent sembler contraires : à tous les échelles, on trouve des entreprises pyramidales, avec un leader qui détient l’essentiel de l’autorité, même s’il délègue. C’est vrai pour les entreprises (Gafa et BATX) avec quelques nuances pour les structures territoriales (de la commune aux grands Etats), particulièrement en ce début de siècle.

On nous popose aujourd’hui d’autres modes de gouvernance, par exemple ceux que propose Frédéric Laloux, qui laisse entendre qu’ils peuvent s’appliquer même avec des dizaines de milliers de salariés et propose des exemples ;

- métrique des différentes parties prenances (personnel, clients, actionnaires…)
- métrique des investissement ou capital immobilisé nécessaires



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