Objectifs et cible de ces pages sur Maisons-Laffitte


Libre interprrétation d'une image du cadastre



Regader notre ville d'un oeil large et positif. Se réjouir de son riche passé, de sa beauté, de son dynamisme. Voir aussi ses points difficiles, les promesses mais aussi les inquiétudes pour l'avenir. Donner envie de s'y engager. Voilà l'objectif de cette ébauche de site;
Votre avis m'intéresse : pmberger@gouvmeth.com


Dernière révision le 2/9/2021
L'histoire
La géographie, Les rues et les places.
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On lit beaucoup de choses sur Maisons, dans les livres et sur les sites web est soit historico-touristique soit pratico-pratique (en particulier le site de la Mairie qui est est abondant et actif).

Nous ne referons pas ce qui a été fait ou qui existe, souvent avec un impressionnant dynamisme.

Mais tout cela
- parle très peu des habitants
- se concentre sur les beaux quartiers et surtout le parc
- ne parle pas de l’avenir

Par exemple, sous l’angle historique, on a tout écrit et montré sur le château. Personne ne raconte l’histoire agricole et industrielle. Je pense à l’usine de Borax, dont il n’y a aucune photo sinon celle que montre le site des Petites-Ecuries https://www.gites-lespetitesecuries.fr/2018/03/31/maisons-laffitte-le-bi-borax-oriental-le-mont-blanc-et-la-chapelle-sainte-th%C3%A9r%C3%A8se/

Ces pages visent à compléter l'information existante sur ces différents thèmes, essentiellement à l'intention des Mansoniens.

A titre personnel, je suis de sensibilité centre-gauche, mais j’ai trente ans de journalisme professionnel derrière moi et j’en conserve une volonté obstinée d’objectivité (obstinée mais sans illusion, car on ne peut jamais tout à fait séparer les faits et les opinions). De ce point de vue, les pages sur Maisons-Laffitte s'inscrivent dans mes réflexions générales sur la gouvernance

Je suis retraité et n'ai pas d'objectif commercial pour ces pages.

Ces pages sont aussi le prolongement d'une recherche personnelle aussi bien sur l'art (Diccan). Dix années de travail sur ce site m'ont convaincu que l'art numérique (et peut-être "l'art contemporain" en général) s'est enfermé dans la stérilité et l'entre-soi d'un monde de l'art concentré sur les galeries et les salles des ventes, en refusant d'entrer dans la "transformation numérique" ambiante, et notamment de donner toute sa place au téléphone, outil et espace culturel aujourd'hui universel et d'une richesse inacessible aux arts traditionnels.

Ma recherche vise à conjuguer ;
- le temps réel, c'est à dire le petit "post' rapide, un peu émotionnel ou ludique (par exemple le post
Ballets roses sur Longueil le jour même d'exécution de ces travaux,
- la pérennité, avec des articles de fond et une documentation éventuellement très lourde (par exemple les statistiques de l'Insee ou une présentation méthodique des rues et des places, avec leur histoire (j'ai commencé par là, car c'est le plus facile) mais surtout avec leur réalité humaine, commerciale, sociale.

Ce travail n'est qu'une ébauche. Yapuka, comme on dit en fonétik.