Rue et chemin de la Digue
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Le chemin, Le camping
Retour aux rues et places . Retour à l'accueil Dernière révision le 21/9/2024
Références documentaires . Images, photos, cartes postales
Voir aussi L'île
Pour la balade
Elle commence au milieu des immeubles de l'entrée de Maisons , traverse l'espace de jeux entre le palais omnisports et l'île de la Commune, puis, devenue le chemin de la Digue, elle offre une longue promenade jusqu'au camping.
A gauche, un sentier passe au milieu des pelouses. A droite, c'est un peu tout et n'importe quoi, depuis le centre de recherche de Veolia jusqu'à des "jardins ouvriers" plus ou moins entretenus
Arrivé au camping, on peut remonter par la rue Johnson, ou prolonger en bord de Seine jusqu'au Pecq (6 kilomètres et des impressions) et au delà.
Notes et documents
. CM, convention avec la Sarry pour rue de la digue, locaux artisanaux et commerciaux. 1986 Sur l'ambiance locale voir . Bureau de vote no 4 Bureau de vote no 16
La rue sur les plans de 1905, 1931 et 1936, et d'après le cadastre (Voir en ligne une version à jour et interactive).
C'est d'abord le chemin aux Vaches. Sur le plan de 1936, il prend son nom actuel. C'est après la guerre (à vérifier) qu'il commence à être largement occuppé. Actuellement, c'est la ligne directrice des bords de Seine avec une partie sportive et l'autre diversifiée.
La rue, en venant de la rue de Paris
Entrée de la rue de la Digue par la rue de Paris 
Une crêche pédagogiqueEn suivant le chemin de la digue
Un vaste espace entre le parc des sports et la limite de la commune, avec un espace vert le long de la Seine et, de l'autre côté, des actiités en tous genres, depuis des potagers plus ou moins abandonnés jusqu'aux services techiques de la mairie et au centre de recheche de Veolia.Entre la rue de Paris et l'espace de jeux du POPD, un espace a été clos, et n'est ouvert que la nuit, parce que le bruit des enfants dérangeait les riverains, et qu'il y avait du trafic de drogue.
Le chemin. Invitation au voyage 
La ligue de protection des oiseaux
Jardins 
Jardins 
Un monument inachevé. Quelle était sa destination ? 
Le camping Le club d'aviron
Une bizarrerie à l'arrière des serrureries Gougeon (entrée principale rue du Clos</a>
Pelouse 
Le centre de recherche Veolia sur les eaux
Le centre technique municipalUn peu avant la fin, le chemin est dominé par un ensemble de villes, construit sur l'ancien "mont blanc" qui amusait les enfant dans les années 1970 encore, et qui était constitué des scories blanches produites par l'usine de borax. Voir rue de Mexico.
Et voilà ! Ici se termine Maisons-LaffitteUne note de Dom Coutel sur le Mont Blanc
Document Coutel
Il y a maintenant un bon paquet d’années.
mais pas au point que je puisse l’oublier.
nous avions alors à Maisons.
Un lieu que nous les gosses adorions .
Nous y allions le jeudi toute la journée.
Sur ces pentes aimions dévaler..
Les fesses sur des cartons nous glissions.
toujours à fond.
Nous rentrions nos culottes courtes déchirées.
Mais promettant de très vite nous retrouver.
C’était dans le prolongement de la rue de la Digue allant vers le Mesnil , en bordure du petit bras les grandes personnes disaient que c’était une décharge de Borax , nous nous l’appelions le Mont Blanc.
Laissés à l'abandon depuis de nombreuses années, les terrains pollués du 101-103, rue des Côtes, d'une superficie de 1,4 ha, sont désormais urbanisés avec une voie privée , la dépollution fut faite par Brownfields, entreprise spécialisée dans ce domaine et…… promoteur immobilier. !
Exploité jusque dans les années 1930 par le Borax Français, le site est devenu ensuite la propriété d’Unilever Des résidus contenant du sel de bore y ont été entreposés.
Désormais, la pollution sera confinée, ce qui constitue une solution éprouvée et sûre », a estimé...... le maire ! ….qui est expert dans tout les domaines .
Le Borax est agent chimique, qu'on retrouve notamment dans les lessives, mais aussi les engrais, les composants électroniques ou le nucléaire, est classé comme toxique depuis 2008, notamment pour ses conséquences sur la fertilité. Sa présence dans l'eau ne p
eut être supérieure à 1 mg/l pour que celle-ci soit potable.
« En cas de pluie abondante, le terrain se charge de borax qui finit par atterrir en contrebas dans la Seine… malgré des bâches retenant les eaux de ruissellement », confie Pierre Larralde, de la société Brownfields,
En gros , une bombe à retardement …qui pétera un jour .