Dessin paru dans La Croix
Du point de vue éthique, humain et social, la relance des contrats à impact est un pas en avant de plus, avec la multiplication des « entreprises à mission » ou la bonne tenue en Bourse des placements ISR (socialement responsables) et ESG (critères environnementaux, sociaux et de gouvernance).
Les contrats à impact permettent à l’État de financer des
projets associatifs à condition qu’ils prouvent leur efficacité.
Pour les précisions techniques, voir le
site Economie.gouv
. Quelques commentaires :
- La Croix (Emmanuelle Réju,
24/9/2020)
précise :
« Ne sont financés sur deniers publics que des projets ayant
fait la preuve de leur efficacité. Et elle donne l’exemple de La
Cravate Solidaire, qui aide les jeunes à passer le cap des
entretiens d’embauche.
- Les Echos 5/10/2020 : « Dans
notre p ays passionnément étatiste, l’idée libérale des
contrats à impact est à encourager. C’est une de ces réformes
discrètes qui font évoluer la société, en silence, pour le
meilleur ».
Les fonds socialement responsables (ISR) thématiques durables (ESG) « surfent sur la vague de la finance responsable » (Les Echos 6/10/2020), et les actionnaires qui ont choisi d’épurer leur portefeuille en ce sens n’ont qu’à s’en réjouir.
L’intérêt pour le respect des règles éthiques est une tendance de fond, confirme Emmanuelle Le Nagard (Les Echos, 24/9/2020), en se plaçant au point de vue des consommateurs.
Pour
autant, les jeux de Veolia pour absorber Suez ne semblent pas
spécialement vertueux, et démentent « la chimère du nouveau
capitalisme » (Jean-Michel Bezat, Les Echos 9/10/2020).
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